Valorisation des stocks : interview d’Atlantiq pour l’Agefi

Atlantiq externalise la gestion de la chaîne de valeur

Après les problèmes de transport et les pénuries dans les approvisionnements, les entreprises questionnent leurs stratégies d’achats. C’est ainsi qu’Atlantiq, spécialiste de la gestion de la chaîne de valeur, se retrouve sollicité par des entreprises intéressées par ses services. Créée en 2010 sur le sujet du financement de stock, la société connaît une accélération dans ce domaine.

«Alors que notre clientèle était constituée de PME nous confiant en portage des stocks de 0,5 à 1 million d’euros, nous sommes sollicités à présent pour des valeurs de stocks de 10 à 25 millions, les grosses ETI viennent à nous», indique Sandra Boissonnade, directrice générale d’Atlantiq. Il est vrai que la fintech a des liens avec des acteurs financiers solides : elle compte parmi ses actionnaires la Bred et Tikehau Capital et elle a noué récemment un partenariat avec Banque Postale Leasing & Factoring.

L’aide aux entreprises va plus loin que le financement de stocks car pour mener cette mission d’origine, la fintech a choisi une approche de gestion, analysant et optimisant les opérations d’achat et de vente de produits. «Notre offre propose la gestion complète du besoin en fonds de roulement dans ses aspects financiers, et elle rencontre un écho très favorable auprès des entreprises actuellement compte tenu des enjeux économiques (inflation, taux d’intérêts élevés, relocalisations)», souligne Sandra Boissonnade. La société a développé des outils d’analyse de la performance des flux de la chaîne d’achat et de celle de vente. Sa technologie permet de détecter des signaux faibles sur les problèmes pouvant perturber la chaîne de valeur, comme des produits peu disponibles ou à mauvaise rotation, des prix qui dérapent…

Mieux valoriser le stock

En conséquence, son intervention sur le stock s’appuie sur une bonne connaissance des flux en amont et en aval. D’autant que son outil se charge des rapprochements automatiques des factures fournisseurs avec les bons de livraison, voire de la gestion des factures clients. Tous les éléments de l’évaluation du stock sont eux-mêmes passés au crible.

«Nous avons découvert que le stock pouvait être mieux valorisé, les entreprises effectuant souvent une mauvaise intégration des prix d’achat, ce qui entraîne leur mauvaise répercussion sur les prix de vente, analyse Sandra Boissonnade. Notre valorisation des stocks est complétée par les frais accessoires, de transport, de transit, appelés frais d’approche, des charges qui sont devenues plus importantes.»

Retrouvez l’intégralité de l’article sur le site de l’Agefi.

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